De la morue, du poisson cuit, des journaux, des perceuses ou des peluches… A chaque arrêt conséquent du train, ils sont là, les vendeurs en tout genre. Ce sont surtout des femmes. Elles ont vingt à trente minutes à chaque fois pour appâter le voyageur avec des produits qui sortent de l’ordinaire du train.
Le rêve pour Niko hier soir, c’était du poisson de rivière et une saucisse imitation Morteau. L’un et l’autre ont fini à la poubelle rapidement faute de moyen de conservation mais c’était amusant. Mauvaise pioche pour les deux œufs cuits qu’il a aussi achetés : ils étaient pourris. Les gâteaux que j’ai achetés étaient aussi périmés mais ça sent quand même moins fort
Luce
dimanche 27 mars 2011
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